Dernière mise à jour le 25 octobre 2025

Projet Éducatif et Pastoral Salésien « PEPS »
PAROLE, ÉCHANGE, PARTAGE, SALÉSIANNITÉ

Dans une Maison de Don Bosco, le projet éducatif ne fait qu’un avec le projet pastoral. Chez Don Bosco, enseigner, éduquer, évangéliser se conjuguent en un seul acte. La base de tout acte éducatif et pastoral est la confiance : « Sans affection pas de confiance, sans confiance pas d’éducation » disait Don Bosco.

L’instauration d’un climat relationnel, fait de simplicité, de joie et de confiance, entre jeunes et éducateurs, entre jeunes, les valeurs vécues et transmises par les adultes aux jeunes grâce à leurs témoignages, accompagne nécessairement la mise en œuvre de l’éducation salésienne. C’est ce que Don Bosco entend par « l’esprit de famille ».

Un regard de confiance

Éduquer à la suite de Don Bosco, c’est d’abord « croire » en ce jeune que nous rencontrons.

« Je crois en toi, j’ai confiance en tes possibilités, je me fie à toi… »
Aussi l’éducateur salésien saura-t-il constamment souligner les réussites du jeune et, en cas d’échec, stimuler ses capacités à le dépasser. Faire confiance aux jeunes c’est aller à la découverte de leurs richesses en refusant les idées toutes faites à leur sujet.

Un regard d’espérance

« Le salésien ne gémit jamais sur son temps » aimait à dire Don Bosco. On ne peut aider les jeunes à bâtir des projets, si on ne leur présente que les côtés négatifs des choses. Pour progresser, le jeune a besoin de mémoriser des réussites.
Espérer avec le jeune c’est s’associer avec lui pour qu’aujourd’hui soit mieux qu’hier et demain mieux qu’aujourd’hui.

Un regard d’affection

Éduquer à la suite de Don Bosco, c’est « aimer » les jeunes, c’est-à-dire, tout à la fois, les accueillir comme ils sont et désirer que leur personnalité grandisse par un incessant dépassement d’eux-mêmes, dans un profond respect de chacun d’entre eux. Une affection

authentique n’enferme pas le jeune dans les souhaits et les projets de l’adulte, mais rend chacun plus autonome et responsable.

Dans une Maison de Don Bosco, le projet éducatif ne fait qu’un avec le projet pastoral. Chez Don Bosco, enseigner, éduquer, évangéliser se conjuguent en un seul acte. La base de tout acte éducatif et pastoral est la confiance : «Sans affection pas de confiance, sans confiance pas d’éducation.» disait Don Bosco.

L’instauration d’un climat relationnel, fait de simplicité, de joie et de confiance, entre jeunes et éducateurs, entre jeunes, les valeurs vécues et transmises par les adultes aux jeunes grâce à leurs témoignages, accompagne nécessairement la mise en œuvre de l’éducation salésienne. C’est ce que Don Bosco entend par « l’esprit de famille ».

Un regard de confiance

Éduquer à la suite de Don Bosco, c’est d’abord « croire » en ce jeune que nous rencontrons.

« Je crois en toi, j’ai confiance en tes possibilités, je me fie à toi… »
Aussi l’éducateur salésien saura-t-il constamment souligner les réussites du jeune et, en cas d’échec, stimuler ses capacités à le dépasser. Faire confiance aux jeunes c’est aller à la découverte de leurs richesses en refusant les idées toutes faites à leur sujet.

Un regard d’espérance

« Le salésien ne gémit jamais sur son temps » aimait à dire Don Bosco. On ne peut aider les jeunes à bâtir des projets, si on ne leur présente que les côtés négatifs des choses. Pour progresser, le jeune a besoin de mémoriser des réussites.
Espérer avec le jeune c’est s’associer avec lui pour qu’aujourd’hui soit mieux qu’hier et demain mieux qu’aujourd’hui.

Un regard d’affection

Éduquer à la suite de Don Bosco, c’est « aimer » les jeunes, c’est-à-dire, tout à la fois, les accueillir comme ils sont et désirer que leur personnalité grandisse par un incessant dépassement d’eux-mêmes, dans un profond respect de chacun d’entre eux. Une affection

authentique n’enferme pas le jeune dans les souhaits et les projets de l’adulte, mais rend chacun plus autonome et responsable.

« Chaque fois que vous l’avez fait à chacun de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. » Évangile de St Matthieu 25;45